L@u & JP tr@vels

On va parfois au bout du monde voir des capitales, mais en France, on a Paris. PARIS, quoi !! La plus belle ville du monde !

On se dit qu'il faudrait y passer plus de temps,  flaner. Bon, ce n'était pas notre cas le weekend dernier. On a flané... au pas de course ! Nos mollets tirent un peu ce matin. Mais c'était bien.

La canopée des Halles :

La butte Montmartre.

Le Sacré Coeur

La Place du Tertre. Un peu trop de restaurants, désormais, et plus assez de peintres avec leurs chevalets, qui faisaient tout le charme de cette palace. Dommage.

Le pont Alexandre III, la Seine, la Tour Effeil au loin, le Grand Palais, la Place de la Concorde

Aujourd'hui, partons au château de Fleckenstein, que les Alsaciens connaissent bien, car il est situé près de Lembach dans le Bas-Rhin, dans les Vosges du nord, juste entre l'Allemagne et la France, dans cette région qu'on appelle la Vasgovie car elle est à cheval sur la frontière.

C'est un château fort semi-troglodyte qui, à l'origine, était un énorme rocher dans lequel ont été creusés des salles et des escaliers permettant d'accéder au sommet. Contre et sur ce rocher long de 90 mètres et haut de 30 mètres, ont été construits des murs, des bâtiments et des tours.

C'est un vrai labyrinthe ! Ca monte, ça descend, ça part à droite, ça part à gauche !

Et, une fois en haut, où que porte le regard, c'est juste magnifique.

Depuis ce château, nous avons repéré un itinéraire de rando qui a l'air sympa et que nous ferons sûrement très bientôt :  le circuit des quatre châteaux : Fleckenstein, Loewenstein, Hohenbourg et Wegelnburg.

Dans le Palatinat, du côté de Dahn, je vous ai déjà parlé de ces monolithes de grès qui parsèment le paysage.

La région est également truffée de ruines de châteaux. Le Felsenland, le pays des pierres et des rochers, a un petit air du Colorado avec ses coloris de grès ocre et rosé et ses formes sculpturales.

Nous avons crapahuté sur le Altdahn, situé au dessus de Dahn. Il ne faut ni avoir le vertige, ni être rebuté par les escaliers et les échelles ! Mais, le paysage, bien entendu, est grandiose.

En cherchant des géocaches, j'ai repéré une curiosité naturelle située à Hinterweindenthal, entre Pirmasens et Dahn, à 30 kilomètres de la frontière française et de Wissembourg et 50 de chez nous.

C'est une région truffée de monolithes de grès rouge où nous étions déjà allés randonner. Cliquez ici =>> Voir mon article

Ce monolithe, appelé "Teufelstisch" (table du Diable) est assez impressionnant : il mesure 14 mètres  : 11 m pour le pied et 3 m pour la table, et c'est une seule pièce.

Le voici vu du parking :

Après une première petite grimpette, si on est fatigué, on peut se reposer sur ce banc avant d'attaquer la grosse grimpette qui mène au rocher.

Et voilà la "bête",

oups, non... pas celle-là !

Celle-ci :

Et on peut même redescendre en toboggan, si le coeur nous en dit.

Sankt Wendel est une jolie petite ville qui s'anime volontiers au gré des manifestations.
Un peu avant Noël , nous étions allés à son weihnachtsmarkt, un joli marché de Noël, authentique, où les chalets étaient recouverts de branches de sapins et où les détaillants présentaient de l'artisanat local, pendant que des saltimbanques faisaient l'animation en musique dans les rues.

Pour Pâques, on retrouve les mêmes petits chalets mais qui présentent des petits lapins, des oeufs décorés, des poules de toutes sortes et des décorations pour la maison ou la table.
C'est un très joli marché. 

Tout est prévu aussi pour les enfants avec de nombreux stands de maquillages, marionnettes, spectacles et animations faites avec des lapins :

Les maisons, les arbres et les fontaines sont décorés avec des fleurs et des oeufs peints. Voici la fontaine de Saint-Wendel : Osterbrunnen :

Dernière matinée en ville avant d'aller à l'aéroport.

Une Smart et son côté pratique.

Un petit tour au marché.

Petite fille au bonnet.

Hommes jouant aux dominos.

 On a vu aussi des balances sur les trottoirs, gardées par des papis, pour qui veut se peser pour 20 lekë.

Ce petit mausolée est quasiment absorbé sous le coin du nouvel immeuble TID.

Il a survécu aux travaux, mais à quel prix, puisqu’il est devenu presque invisible. De forme octogonal, il a été érigé au début du XIXe siècle en l’honneur de KaplLan Pacha, l’un des premiers gouverneurs de Tirana.

Perspective, une fois que l'immeuble sera fini (photo Internet) :

Plus loin,  se dresse le monument au Partisan inconnu, en l’honneur des partisans qui combattirent les troupes fascistes.

Aeroporti Nënë Tereza (Aéroport Mère Thérèsa):

L’aéroport international est situé à Rinas, à 25 km au nord-ouest du centre-ville de Tirana. Inauguré en 1957, rebaptisé en 2001 et entièrement rénové en 2008, c’est le seul point d’accès par les airs pour l’Albanie.

On va prendre cet avion...

... non, plutôt celui-là :

On a voyagé avec Air SERBIA. C'est une très bonne compagnie : des hôtesses aux petits soins, des pilotes sympas, deux atterrissages nickel (on a fait une escale à Belgrade) et bagages pas perdus.
On n'a pas vu Novak Djokovic ... mais son nom sur un avion.

Et voilà, direction paHKdpypt.... enfin Frankfurt.... enfin Francfort.