Mardi 19 juillet, journée parfaite pour une sortie sur le Rhin :  du soleil, de la chaleur et un ciel bleu immaculé.

Nous partons prendre le bateau à Bingen. De nombreuses compagnies proposent des croisières. Nous choisissons Bingen-Rüdesheimer,   site Internet => ICI <= , et optons pour le Round Trip LORELEY CRUISE qui remonte jusqu'à St. Goar et revient, avec des stops à Assmannshausen, Trechtingshausen, Lorch, Bacharach, Kaub, Oberwesel et St. Goar.

En attendant le bateau.

Le voilà qui arrive

Châteaux, forteresses et monastères trônent le long du fleuve et, sur les pentes vertigineuses, ce ne sont que vignobles escarpés.

Nous passons au pied de la Lorelei

"Selon la légende, la Lorelei était une ondine blonde (génie des Eaux dans la mythologie nordique) qui captait l'attention des bateliers par ses attraits et ses chants mélodieux, à l'endroit le plus dangereux du fleuve. Heine a fait de cette légende un célèbre poème Je ne sais d'où vient ma tristesse ... que Silcher a mis en musique". Quand on passe à proximité du rocher de la Lorelei, on entend cette musique dans les haut-parleurs du bateau....

Nous descendons à Sankt-Goar pour déjeuner, et faire un tour dans le village, avant de reprendre un autre bateau pour retourner à Bingen.

Station météo locale :

Ce fut une bien belle journée et, comme il a fait TRES chaud, on a mérité une Spaghetti-Eis-Fragole !

(Glace à la vanille, crème chantilly, fraises fraîches, coulis de fraises, copeaux de chocolat blanc).

Eindhoven, 5ème ville des Pays-Bas, est une ville très moderne, à l'image du Philips Stadion, qui date de 1913 et fut financé à l'époque par la firme électronique Philips, fondée à Eindhoven.

D'ailleurs, il y a un musée Philips.

De Blob, construction de verre et d'acier, située en plein centre de la ville.

Et après l'effort, le réconfort !

Overheerlijke steppegras

( littéralement "délicieux herbe de la steppe")

Une montagne de frites très fines et croustillantes, servies avec un pavé de steak et une sauce aux champignons + un peu de carottes râpées, tomates et concombres.

Le genre de plat qu'on ne peut pas finir car trop copieux !

Je reviens d'un petit tour en Belgique et aux Pays-Bas.

Voici  ’s-Hertogenbosch, (Den Bosch).

La cathédrale gothique Saint-Jean,  en brique et en pierre,

et ses étonnants personnages chevauchant les arcs-boutants :

En ce moment, à l’occasion de l’année Bosch, un échafaudage a été installé qui permet de se hisser (après avoir gravi 144 marches !) à 25 mètres de hauteur et de marcher dans les gouttières, pour s'approcher au plus près des 96 sculptures, toutes différentes.

Ces dragons, monstres, musiciens et autres animaux fantastiques, assis à cheval sur les arcs-boutants, ne se voient pratiquement pas d'en bas, et il est assez hallucinant de pouvoir ainsi les observer de près. 

C’est aussi l’occasion de voir l’ange qui parle à Dieu via son téléphone portable.

Lors des travaux de restauration, un sculpteur s'est amusé à créer cet ange au téléphone, qui ne comporte qu'un seul bouton "pour appeler Dieu" !

 Et comme d'habitude, après l'effort, le réconfort !

Il ne nous fallait pas repartir de Den Bosch sans avoir acheté la spécialité locale, les fameux Bossche Bollen, grands choux à la crème chantilly, recouverts de chocolat noir. Un délice !

La Moselle, dans la dernière partie de son cours, entre Trêves et Coblence, décrit d'amples méandres et se prélasse au milieu des côteaux de vignobles escarpés. On ne se lasse pas de ces paysages et de cette lumière.